Article publié le 26 Avril 2019 12:00:00
par Gwenn HAMP

« Refuges, vous avez tout à y gagner ! »

L’Asclaf (association de sauvegarde des chats libres et abandonnés de Fresnes) a été le premier refuge à s’inscrire sur Solidarité-refuges. Six mois plus tard, le bilan est très positif. 

« Je conseille à tous les refuges de s’inscrire ! ». L’enthousiasme de Ginette Lahaye, trésorière de l’Asclaf, est à la hauteur des retombées observées. « Une soixantaine de couchages, un caddie plein de nourriture, des jouets high-tech ont été offerts par le biais de la plateforme. » énumère-t-elle.

Les chats ont apprécié l'onctuosité des nouveaux couchages offerts grâce au moteur de recherche de Solidarité-refuges... ©DR
...et de s'amuser avec les jouets d'une donatrice sensibilisée, elle aussi, par le biais de la plateforme Solidarité-refuges ©DR

Une générosité de proximité

L’élan de solidarité, déjà palpable en octobre dernier, ne faiblit pas. Il y a quinze jours, l’association a récupéré deux cartons pleins de paniers et de coussins neufs. Le généreux donateur a consulté le moteur de recherche de Solidarité-refuges pour connaître l'association de protection animale la plus proche de chez lui à qui il pourrait faire bénéficier de cette marchandise.

Comme dans un rêve... Deux cartons pleins de paniers et coussins ont été réceptionnés il y a quinze jours ©DR

De nouveaux bénévoles bienvenus

Concernant la recherche de nouveaux bénévoles, l’annonce publiée sur Solidarité-refuges a aussi porté ses fruits. « Un afflux inédit de bonnes volontés s'est présenté. Les volontaires nous contactent sur nos téléphones portables, dont les numéros sont accessibles sur notre profil. » constate Ginette Lahaye. « Difficile de quantifier exactement ceux qui viennent après avoir visité Solidarité-refuges car on oublie souvent de leur demander comment ils ont eu nos coordonnées. » avoue-t-elle néanmoins.

Ginette Lahaye prend en charge, à son domicile, une femelle allaitante et de ses petits ©DR

Cette main d’œuvre providentielle a permis d’étoffer le réseau de la cinquantaine de bénévoles investis au sein de l’Asclaf . « Tout repose sur eux puisque l’association ne compte aucun salarié. Ici, on est rémunéré en ronrons. » plaisante celle qui fait, en plus de son temps passé au refuge, office de famille d’accueil.

Pour en savoir plus sur l’Asclaf, rendez-vous sur le profil de l'association.

Vous avez du temps et/ou du matériel à donner à un refuge ? Consultez le moteur de recherche de Solidarité-refuges pour connaître la structure la plus proche de chez vous.